L’économie d’un grand nombre de pays a été mis à mal par la crise sanitaire qui a touché le monde entier, et l’Afrique n’a pas été épargnée. Alors que la sortie de confinement a commencé à s’effectuer, et que les pays doivent remettre leurs économies en marche, les dirigeants des états Africains parlent d’unité et de solidarité.
Que fera le continent dans les mois qui viennent pour aider les entrepreneurs et les citoyens ?
L’Afrique : terre de croissance
Avant que le coronavirus ne fasse basculer le monde dans une crise sans précédent, l’Afrique, qui en 2019 possédait un taux de croissance de 3,4 %, était promise à une amélioration de ce dernier alors que les spécialistes s’attendaient à voir celui-ci approcher les 4 %. Mais ça, c’était avant la débâcle, et aujourd’hui il est trop tôt pour prédire avec clarté comment se terminera cette année difficile. Comme les autres continents, elle doit faire face à la situation et penser à de nouvelles solutions pour la survie de ses entreprises et le bien-être de ses citoyens.
On peut cependant affirmer sans le moindre doute que lorsque l’économie mondiale se stabilisera à nouveau, la croissance de l’Afrique retournera à des niveaux similaires à ce qu’elle a présenté au cours de la dernière décennie. Cela veut dire qu’investir sur le continent en y établissant son entreprise demeure une opportunité pour les entrepreneurs, car le marché continuera de progresser.
Cependant, il est important de collaborer avec des partenaires déjà bien établis sur le territoire, tel que WeCount experts-comptables (www.wecount.ma), afin d’établir des bases juridiques solides et de s’assurer que les tâches administratives s’effectuent sans délai et de la bonne manière.
Une union africaine
Un grand nombre d’institutions économiques en Afrique se sont joints aux voix de Chefs d’Etats afin de saisir l’opportunité créée par cette crise pour remettre à l’ordre du jour les priorités africaines. Selon eux, il faut donc revoir les besoins du continent. Pour ce faire, il faut construire de nouvelles bases relationnelles avec le reste du monde et repenser les relations panafricaines afin de les développer vers une meilleure entraide.
Toujours selon cette union politique et économique, le retour post-confinement doit marquer une étape dans son développement interne. Ils indiquent que l’Afrique doit cesser de trouver des solutions provenant de l’extérieur. Elle doit utiliser ses richesses (terres arables, forêts et animaux) afin de développer le système éducatif et sanitaire de l’ensemble des pays. Enfin, elle doit se positionner face au reste du monde afin d’apporter sa contribution à la mondialisation.